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2017 — Les projets

L’année 2016 touche à sa fin (et entre nous tant mieux) et il est temps de faire un bilan ... sur mes projets pour l’année prochaine.


D’abord, je sais que nombreux d’entre vous l’attendent, le tome 3 de la saga Glen Landsbury sortira en novembre 2017 pour la prochaine édition de la Y/Con. Il s’intitulera : Janus Mortel. Je vous en parlerai un peu plus tard. Par ailleurs, petit scoop, le tome 1 , Phoebus Mortel est en cours de traduction en italien et sortira dans la langue d’Umberto Eco durant le second semestre 2017. Je suis fier que Sidh Press ait proposé ma petite romance à la traduction !


Autre attente, celle du tome 3 des aventures de mon héros fantomatique préféré : Drek Carter. Il reviendra pour une nouvelle enquête au mois de mai. Cet opus aura pour titre : Hygie Mortelle. Nous en saurons plus sur les intentions du Maître, sur la mort de Drek, sur son début de romance avec une fille détonante et surtout il rencontrera... un certain Killian Handcock qui va être aux abois... Mais je n’en dirais pas plus pour ne pas vous gâcher la lecture.


Autre projet dans le young adult... C’est bien sûr Nos Maux d’Excuse. Ce one-shot (en bon français) traitant de l’homophobie scolaire et familiale, sur le ton de la comédie dramatique, avance très bien et j’ai bon espoir pour qu’il trouve une jolie maison d’édition qui voudra le publier.


Il faudra que je donne un coup de collier sur ma comédie romantique gay, Service Compris. Cela parle d’Henry, un chef classé 3 étoiles au guide Michelin, qui revient en France après un coup de fil flippant de sa meilleure amie Coraline. Il s’avère qu’elle vient de lui acheter un restaurant à Ploufectel, une charmante bourgade bretonne près de Roscoff, avec les économies que le beau jeune homme a accumulées à la suite de son divorce avec Adrien, un autre cuisinier aussi doué derrière les fourneaux que ceux d'autres hommes. Or, cette bonne intention se transforme en cadeau empoisonné, puisque de l’établissement juste en face du sien, se trouve être celui de son ex. Entre coups-bas, quiproquos, début de romance avec le beau geek et mareyeur Doryan, sa meilleure amie maladroite et sarcastique, et un concours culinaire, les vacances d’henry risquent d’être mouvementées...


Et si nous avons le temps, avec Sebastian Bernadotte, nous essayerons de finir notre roman à quatre mains, le premier tome d’une nouvelle saga, Les mystères fantastiques de Paris. Ce 1er opus, au titre de : Le mystère du mangeur d’âmes, se déroule en juin 1889, à Paris qui vit aux couleurs de l’Exposition Universelle et aux rythmes des fêtes organisées par le Tout-Paris pour célébrer cet évènement ayant pour thème les 100 ans de la Révolution Française. Un soir, Louise de Stalles, Comtesse de Frontenac, une jeune fille aristocrate parisienne, d’origine de Dordogne, au caractère bien trempé, de 25 ans, s’adonnant à ses passe-temps préférés, doit se rendre à une réception. Elle doit retrouver Paul Deschannelles, un jeune homme fringuant, issu de la bourgeoisie rennaise, d’une trentaine d’années, plutôt calme, réfléchie, cannaphile et tout comme Louise, adore la compagnie masculine. Tous deux font partie de l’ISF, le service Investigations Surnaturelles Françaises. Leur travail ? Enquêter sur des crimes inexpliqués, pour le commun des mortels, qu’ils résolvent grâce à leurs dons. Paul est nécromancien, mais qui a une peur bleue des cadavres, et Louise est un succube, maniant aussi bien le chi que les arts martiaux. Au lendemain de la soirée, un corps d’une jeune femme a été retrouvé. C’est Nelson Plymac, un médecin-légiste d’origine écossaise, et accessoirement loup-garou qui se charge de l’autopsie. Elle a la particularité d’avoir été vidée de son sang et ses mains sont devenues écarlates. Tout porte à croire que c’est un vampire qui aurait fait le coup malgré l’absence de morsures. Après avoir tenté de la réveiller, Paul constate que l’âme de la jeune femme a disparu, pire, elle a été mangée.


Comme vous pouvez le lire, 2017 sera bien remplie !



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